Le dirigeant d’une petite entreprise, quelle que soit son activité, assume généralement l’ensemble des fonctions : produire, vendre, manager et gérer. Malheureusement, par manque de temps, d’intérêt ou de maîtrise, la gestion est souvent la fonction la moins accomplie. Et pourtant, elle est tout aussi vitale que les trois autres.
Voici donc quelques principes fondamentaux à adopter.
D’abord, une bonne organisation administrative
Plus de 200 000 petites entreprises font confiance à FIDUCIAL. L’analyse de leur fonctionnement démontre jour après jour l’étroite corrélation qui existe entre la qualité de leur organisation administrative et leur niveau de rentabilité. Plus le chef d’entreprise attache de l’importance à son organisation, meilleure est sa rentabilité.
C’est logique pour plusieurs raisons : il évite de perdre du temps, de perdre des occasions d’affaires. Il sait à tout moment ce qu’il doit et ce qu’on lui doit.
En outre, dans un pays où les réglementations et les formulaires sont abondants, il faut veiller à ne pas se laisser déborder par la paperasse.
Savoir où l’on va
L’établissement d’un budget prévisionnel permet, au début de chaque exercice comptable, de chiffrer et de matérialiser ses objectifs, voire de les retoucher afin de les mettre en adéquation avec les moyens actuels ou futurs de l’entreprise. C’est un moment privilégié de réflexion, qui offre l’occasion de prendre du recul.
De plus, ces prévisions baliseront le chemin et permettront de mesurer régulièrement les écarts avec les réalisations.
Connaître ses coûts et la formation de ses prix
Que le prix soit fixé par le dirigeant, voire imposé par la loi ou qu’il découle de la concurrence, une bonne connaissance du coût de revient de ses produits ou services permet de contrôler que le niveau de prix pratiqué suffit à dégager des résultats satisfaisants, et à défaut :
- d’ajuster son prix,
- voire d’adapter le coût de revient à son prix final (c’est-à-dire de modifier les éléments formant son prix).
Nos recommandations |
Avoir toujours un œil rivé sur la trésorerie
La trésorerie est le nerf de la guerre. Sans ce carburant, l’entreprise ne peut plus avancer. C’est pourquoi il convient de toujours avoir un œil sur la jauge, c’est-à-dire l’échéancier de vos encaissements et de vos décaissements.
Non seulement facturer vite et encaisser rapidement permet de limiter les difficultés de trésorerie, mais également de réduire les contestations et les impayés. Il ne faut donc pas hésiter à relancer ses clients (Voir: "un client ne vous paie pas")
Nos recommandations : consultez votre conseiller FIDUCIAL dès les premières difficultés pour connaître rapidement les différentes actions à mettre en œuvre.
Faire régulièrement le point
On peut avoir une trésorerie satisfaisante mais ne pas réaliser de bénéfices. Attendre l’établissement des comptes annuels pour en prendre conscience peut alors s’avérer trop tardif pour espérer arranger la situation.
Il est donc conseillé :
- d’identifier et de suivre régulièrement des indicateurs de gestion dont l’évolution est corrélée à celle du résultat (recettes journalières, taux d’occupation, nombre de visites, panier moyen, heures vendues…) ;
- de réaliser plusieurs fois par an des points chiffrés intermédiaires (situation comptable, tableau de bord, résultat approché).
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