Maître Cédric BLANCHET, Notaire à Paris et et client de FIDUCIAL depuis quelques années, partage ses impressions sur les caractéristiques de Signature, le nouveau logiciel de rédaction d'acte et la mutation de la profession Notariale.
Qu’avez-vous pensé du lancement de FIDUCIAL Informatique ?
MAITRE BLANCHET « J’ai hâte de passer à la nouvelle solution. Je pense effectivement qu’avoir un système ouvert dans le monde actuel va nous permettre d’agréger tous les utilitaires dont on va avoir besoin. Je pense que c’est la bonne voie ».
L’écosystème Notarial, c’est important pour vous ?
MAITRE BLANCHET « C’est important dans la mesure où les intervenants qui nous permettent de produire nos actes sont tellement multiples que l’on a besoin, de plus en plus, de différentes personnes. Donc oui, je pense que c’est important ».
Le rapprochement avec les éditeurs juridiques et FIDUCIAL, c’est intéressant ?
MAITRE BLANCHET « Tout ce qui permet d’intégrer le maximum de choses dans notre outil et de nous simplifier la vie me paraît assez intéressant ».
Voyez-vous un risque dans la solution hébergée ?
MAITRE BLANCHET « Alors pour être tout à fait honnête je n’ai pas encore tranché, je ne suis pas encore complétement convaincu par la solution full web. Si ça permet de simplifier la mobilité, alors là je suis preneur, parce que c’est quand même un peu compliqué la mobilité. La technologie évoluant, je pense que ça ne sera plus un sujet, mais c’est vrai qu’aujourd’hui je trouve que les connexions sont parfois un peu sensibles et, du coup, m’inquiètent par rapport au full web. Mais une fois qu’on a réglé ce problème effectivement, la simplicité de gestion, de ne plus avoir les mises à jour et tout ça… là, j’adhère ! ».
C’est important la productivité de votre étude ?
MAITRE BLANCHET « Elle est essentielle parce que dans un monde où l’on va être challengé sur nos émoluments, nos honoraires et nos tarifs, bien sûr que la productivité va être importante. Mais aussi, surtout, pour pouvoir expliquer à nos clients ce que l’on fait pour la prestation ».
L’uberisation, c’est un terme qui vous fait peur ?
MAITRE BLANCHET « C’est un risque potentiel parce que je ne suis pas sûr que les gens soient capables de redonner du temps sur des sujets qu’ils considèrent accessoires, même si nous on considère qu’acheter un appartement n’est pas accessoire. On le constate pour beaucoup de nos clients finalement : c’est un achat comme un autre qui n’est pas plus compliqué que d’acheter une voiture ou même d’acheter une baguette de pain ».
Le mot Signature ?
MAITRE BLANCHET « Ça semble assez bien choisi ! Comme disent les jeunes « ça le fait ! », je suis d’accord ! ».