Choisir la meilleure option pour devenir franchisé
Cliente : Cristina, 46 ans
Création du point de vente franchisé : août 2012.
Secteur d’activité : garde d’enfants et soutien scolaire à domicile.
Lieu d’implantation : Saint- Brieuc (Côte d’Armor).
Début de la relation avec Fiducial : 2011.
Problématique : rachat de l’entreprise dans laquelle elle était salariée.
Solution : création d’une agence sous une autre enseigne.
Témoignage :
« Pour ouvrir en franchise, j’ai, dans un premier temps, voulu reprendre l’entreprise dans laquelle j’avais été embauchée il y a cinq ans. Dès que j’ai songé à devenir chef d’entreprise, j’ai confié mon dossier à l’une des clientes de l’agence, directrice de l’agence locale Fiducial, dont nous gardions les enfants. Son étude a révélé que le coût demandé pour le rachat était trop élevé au regard de l’excédent brut d’exploitation. De plus, nous avions beaucoup de mal à obtenir, de la part du franchiseur, des pièces comptables essentielles comme le bilan. La relation avec ce réseau manquait de transparence...
Sur les conseils de Fiducial, je me suis alors rapprochée d’une autre enseigne, toujours dans le même secteur, pour cette fois un projet de création d’agence. Pour établir le business plan, nous avons calqué la progression de mon affaire sur celle de l’agence dans laquelle, salariée, j’avais fortement contribué au développement du chiffre d’affaires depuis son lancement.
Ma directrice d’agence Fiducial a également soutenu ma demande de prêt d’honneur devant le comité d’agrément d’Initiatives Armor. J’ai ainsi obtenu 10 000 euros qui m’ont permis d’augmenter mes fonds propres et ainsi d’appuyer ma demande d’emprunt. Chose rare, l’attribution de ce prêt d’honneur a été approuvée à l’unanimité.
J’ai désiré ouvrir dès l’été. Or, l’acceptation des agréments nécessaires à la pratique de mon activité a tardé, les administrations tournant au ralenti durant cette période. Même si nombre de familles ont choisi de me suivre, ce mauvais timing dans le démarrage a engendré une première année d’exploitation délicate. Il a fallu adopter une gestion serrée au niveau de la trésorerie pour éviter des décalages entre le versement des salaires et le prélèvement de mes clients. Ma première banque a d’ailleurs manqué de rigueur pour effectuer les opérations que je lui demandais. Sur les conseils de Fiducial, j’ai changé d’établissement et communique désormais avec un conseiller bancaire très réactif.
À l’automne 2014, mon agence compte 31 intervenantes à temps partiel et des salariés en CDI pour assurer le back-office. Elle dégage maintenant un chiffre d’affaires conforme au prévisionnel pour la 2e année.
Tout entrepreneur a besoin de pouvoir se consacrer à son business sans devoir se prendre la tête avec la gestion financière de son entreprise. Fiducial me bluffe par son expertise. J’ai le sentiment que mon expert-comptable connaît le roman de mon entreprise en anticipant son histoire. Par exemple, lorsque la loi sur le travail partiel nous a contraints à des contrats d’une durée minimale de 24 heures, il m’a immédiatement avertie de ce changement législatif – tout comme mon enseigne – et m’a accompagnée dans la mise en place de ces nouvelles conditions d’embauche.
Mon expert-comptable réagit rapidement dès qu’il pointe une anomalie afin d’échanger sur les solutions possibles. Cette forme d’empathie fonctionne d’autant mieux que, grâce à ses visites fréquentes, il connaît bien mon environnement de travail et les conditions de mon activité. En particulier, les problématiques récurrentes de mon métier, comme la difficulté à recruter de bons profils. »
Des tableaux de bord adaptés aux besoins des franchisés
Client : Didier, 40 ans.
Création du point de vente franchisé : début 2015.
Secteur d’activité : entretien automobile.
Lieu d’implantation : Landes.
Début de la relation avec Fiducial : juin 2014.
Problématique : constitution de tableaux de bord avec des exigences particulières dans un métier complexe.
Solution : proximité, adaptabilité et réactivité d’un expert-comptable local.
Témoignage :
« Directeur régional d’une enseigne uniquement développée en région parisienne, je recherchais un expert-comptable pouvant m’accompagner dans la constitution de mon business plan et dans l’exploitation de mon point de vente. Mon futur franchiseur avait noué un partenariat avec un autre réseau d’experts-comptables que Fiducial, présent à proximité du lieu de mon implantation.
En plus du besoin d’un même interlocuteur comptable pour chacune des étapes du lancement de mon entreprise, j’avais également des exigences particulières pour réaliser des tableaux de bord. Tout d’abord, je voulais qu’ils aient la même forme, à la fois lors de la présentation du prévisionnel dans ma demande d’emprunt et pour le reporting mensuel utilisé durant mon activité.
Ensuite, ces tableaux de bord devaient répondre à la complexité du métier de l’entretien automobile, reposant sur deux équipes : l’une de services, avec la facturation de main-d’œuvre, et l’autre de vente de pièces détachées, purement commerciale. Les incidences ne sont pas les mêmes sur le management d’un technicien ou d’un vendeur. Le suivi des équipes et la satisfaction des clients sont des facteurs essentiels pour la réussite d’une affaire.
Enfin, il fallait que ces tableaux de bord soient construits de manière à ce qu’ils s’adaptent à ma façon de les consulter, qu’ils soient conformes à mes habitudes prises en vingt ans de carrière dans l’entretien automobile.
Pour établir le business plan, nous avons croisé les données de mon enseigne, mon expérience et les chiffres réels de commerces similaires extraits du réseau Fiducial. Mon expert-comptable a validé certains chiffres car la règle de trois ne pouvait s’appliquer à ce que j’avais connu précédemment puisque je m’occupais d’exploitations quatre à cinq fois plus grandes que celle que j’allais créer. Par exemple, le coût lié aux cartes bancaires n’est pas proportionnel à leur volume.
Mon expert-comptable m’a apporté des conseils judicieux sur d’autres sujets tels que la demande de financement, en m’apprenant qu’il existait des durées d’emprunt différentes selon que le crédit est lié au matériel et aux frais d’ouverture, ou à l’agencement du bâtiment. Mais aussi pour définir les dates de création de l’entreprise et de clôture des comptes, ainsi que pour mieux gérer mon besoin en fonds de roulement, la libération de mes capitaux et la répartition de mes bénéfices.
Pour m’aider à choisir entre les différentes options possibles, mon expert-comptable a ainsi réalisé des simulations telles que la mise en place d’une prime pour mes salariés en mesurant son impact sur le compte d’exploitation. Tout au long de cette relation, il a fait preuve de flexibilité, de réactivité et d’adaptabilité face à mes besoins.
Preuve de ce sentiment de personnalisation du service: quatre réunions d’au moins deux heures ont été nécessaires avec ce professionnel pour établir le business plan car certaines données ont changé au cours du projet.
C’est d’ailleurs pourquoi mon choix s’est orienté vers Fiducial : pas seulement parce qu’il s’agissait d’un grand groupe mais pour la relation de proximité. »
Bénéficier de conseils pertinents pour être rassuré sur ses choix de franchisé
Client : Dominique, 56 ans.
Création du point de vente franchisé : décembre 2012.
Secteur d’activité : décoration, communication, publicité adhésive.
Lieu d’implantation : Châlons - en - Champagne (Marne)
Début de la relation avec Fiducial : 2012.
Problématique : devenir entrepreneur après plus de 30 ans de carrière salariée.
Solution : pack de démarrage pour sécuriser les obligations légales de l’entreprise.
Témoignage :
« Sur les conseils de mon enseigne, je me suis rapproché de FIDUCIAL et j’ai choisi le pack de démarrage “créateur d’entreprise”. Issu du secteur de la grande distribution alimentaire, je ne m’étais pas préparé à devenir entrepreneur. Quand mon poste a été supprimé, je me suis reconverti dans le domaine où j’avais le plus d’expérience. Mais, salarié depuis plus de trente ans, et même si je possède un BEP comptable et avais l’habitude de lire des tableaux de bord comme tout cadre, je ne connaissais pas en profondeur les problématiques d’une entreprise.
Mon expert-comptable Fiducial m’a aidé à établir mon business plan pour obtenir l’emprunt nécessaire à mon lancement en s’appuyant sur un vrai savoir-faire et les résultats d’unités franchisées existantes de mon réseau. Ce document, dont la présentation facilitait la compréhension des chiffres, a mis en confiance mon banquier. Concernant le choix du statut de mon entreprise, j’ai suivi la préconisation de la Chambre de commerce et d’industrie. L’EURL (Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) possède l’avantage, par rapport à ma situation personnelle, d’engager seul ma responsabilité, en protégeant mon épouse en cas de défaillance.
Mon expert-comptable m’a rassuré dans mes choix, d’autant plus qu’il est ouvert d’esprit et extrêmement rationnel dans le traitement des chiffres avec un rapport remis une fois par mois.
Comme il vient également enregistrer les factures sur mon lieu de travail, je n’arrête pas mon activité ou n’ai pas besoin de me faire remplacer à cette occasion. J’envisage d’ailleurs de modifier mes options en matière de déclaration de la TVA et en discuterai prochainement avec lui pour voir ce qu’il est possible de faire. Avec le démarrage difficile qu’a rencontré mon activité, je n’ai pu me rémunérer à la hauteur souhaitée. Mon expert-comptable m’a toutefois conseillé d’adopter un minimum de salaires pour ne pas perdre le bénéfice d’une année complète pour le calcul de la retraite. »
Définir un modèle économique pérenne de l’exploitation en franchise
Clients : Francky et Cécile, 48 et 44 ans.
Création du point de vente franchisé : novembre 2013.
Secteur d’activité : commerce alimentaire de détail.
Lieu d’implantation : Lyon, 8e arrondissement (Rhône).
Début de la relation avec Fiducial : juillet 2013.
Problématique : aider à la transition entre gérance-mandataire et location-gérance.
Solution : offre globale d’accompagnement pour définir un modèle économique pérenne de l’exploitation en franchise.
Témoignage :
« Pendant plus de quinze ans, nous avons été, avec mon épouse, gérants-mandataires de commerces dans l’alimentaire de détail dans différentes villes de France. Nous percevions une rémunération définie par un pourcentage du chiffre d’affaires, mais le pilotage de l’activité – charges, marges, bénéfices… – revenait au réseau.
Durant l’été 2013, notre enseigne nous a proposé de devenir locataire-gérant durant trois ans avec possibilité de transformer l’engagement en contrat de franchise. Il s’agissait d’un test destiné à être étendu au niveau national en cas de succès. Nous étions néophytes en matière d’entrepreneuriat, même si nous maîtrisions notre métier et avions connu, au cours de nos cinq précédentes expériences, toutes les configurations possibles en termes de typologies d’emplacement.
Nous avons choisi de nous faire accompagner par Fiducial avec une formule complète, incluant une gestion analytique – et non une simple lecture – de tous les postes du compte de résultat afin de pouvoir comprendre comment se forme le chiffre d’affaires, la marge et le résultat d’exploitation. Ces informations ont été établies sous la forme d’un reporting mensuel en vue de définir un modèle économique pérenne de l’exploitation en franchise pour l’enseigne.
Après trois mois d’observation en tant que membres du réseau, nous avons constitué un prévisionnel en adéquation avec la réalité et créé notre SARL avec un apport relativement limité. Notre contrat de location-gérance prévoit les conditions, notamment financières, d’un passage à la franchise après trois ans d’activité. Ces démarches, comme toutes celles liées à la partie juridique de notre dossier, ont été gérées par Fiducial Sofiral, cabinet d’avocats de Fiducial.
Depuis le début de nos relations, notre agence Fiducial répond rapidement à toutes nos interrogations, en particulier en ce qui concerne les factures. Par exemple, comme le fonds de commerce appartient à l’enseigne dans un contrat de location-gérance, notre expert-comptable nous indique, ce qui incombe au bailleur ou à notre entreprise en termes de charges liées au local. Cet aiguillage nous fait gagner du temps dans le traitement administratif.
Dans un autre registre, Fiducial nous a proposé une solution bancaire, à laquelle nous réfléchissons, pour conserver nos dépôts de liquidités sur notre banque d’origine – proche de notre commerce – et de réaliser nos prélèvements de carte de paiement par la Banque Fiducial. Nous profiterions alors d’un taux de commission moindre permettant un bénéfice supplémentaire de plusieurs milliers d’euros sur une année. De plus, notre expert-comptable nous a aussi expliqué comment bénéficier du CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi) à travers un contrat de génération. Il nous a également conseillé sur la stratégie de l’entreprise: répartition des bénéfices, choix du fournisseur d’énergie, etc.
En ayant choisi une offre globale, nous suivons au quotidien le développement de notre activité. Nous pouvons ainsi redresser la barre, en cas de nécessité, avec une certaine réactivité. Par exemple pour redéfinir la grille tarifaire de nos produits avec un taux de marge correspondant à notre environnement concurrentiel et nos spécificités.
C’est dans la gestion d’un point de vente que nous cherchons à progresser plus que dans le domaine commercial. Avec Fiducial comme tuteur, ce suivi nous aide à grandir avec notre affaire et à nous préparer à nous retrouver seuls aux manettes du commerce en cas de passage à la franchise. Nous pouvons ainsi écrire notre propre histoire, en mettant en valeur nos acquis professionnels. »
Débloquer un projet entrepreneurial pour lancer sa franchise
Client : Lilian, 44 ans.
Création du point de vente franchisé : décembre 2013.
Secteur d’activité : restauration rapide.
Lieu d’implantation : Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
Début de la relation avec Fiducial : septembre 2013.
Problématique : pas de réponse positive sur la demande d’emprunt malgré la notoriété de l’enseigne de franchise.
Solution : déblocage du projet grâce à la connaissance du tissu local par un expert-comptable de proximité.
Témoignage :
« Depuis trois ans, j’avais le projet de créer mon entreprise. Je voulais implanter mon point de vente dans l’extension de la galerie marchande d’un centre commercial… pour laquelle les travaux ont pris du retard.
Mon expert-comptable m’a conseillé de créer une société avant même le démarrage de mon activité, en particulier afin de pouvoir réserver un emplacement de qualité, signer mon bail commercial et préparer l’aménagement du local. Il m’a donné un document permettant de comparer les différents statuts de sociétés au regard de ma situation personnelle. Il m’a conforté dans le choix de la SAS, certes économiquement plus coûteux qu’un statut TNS (Travailleur non salarié), mais correspondant à un entrepreneur développeur dans l’âme. J’ai en effet l’ambition d’ouvrir plusieurs points de vente au cours des prochaines années et la SAS ne nécessite pas de constituer une holding pour gérer l’ensemble de ses entités.
Parallèlement, j’avais engagé les démarches pour une demande de financement auprès de cinq banques. Mon enseigne compte plus de deux cents points de vente, possède une forte notoriété et s’est développée dans tous types de lieux à fort trafic : centres commerciaux, gares, autoroutes, aéroports… Et je n’avais pas reçu la moindre réponse, à part celle de la banque de mes parents qui me réclamait encore des documents pour finaliser mon dossier, neuf mois après ma demande initiale…
Mon expert-comptable m’a alors proposé de me mettre en relation avec une banque locale qu’il connaissait. Il a appelé la directrice en ma présence et m’a recommandé à cette personne de sa connaissance. Deux mois plus tard, mon dossier était accepté à un taux de prêt plus avantageux que ce que l’on m’avait offert jusque-là et avec des contraintes moindres, en obtenant par exemple qu’il n’y ait pas de convention de blocage de compte courant d’associé. J’ai ainsi ouvert mon point de vente fin mai 2014 et alors mis en activité ma SAS.
Au-delà des chiffres, mon expert-comptable m’accompagne également dans la partie sociale en me conseillant sur les contrats de travail – CDI, CDD, contrat de professionnalisation – à adopter selon les cas ou sur les modalités pour se séparer d’un salarié dans un secteur où il faut gérer le turn-over récurrent de son équipe.
Après quatre mois d’activité, je suis légèrement en avance sur le prévisionnel volontairement réaliste que nous avons établi dans le business plan. Quand on crée son entreprise, il faut avoir la chance de tomber sur la bonne personne dès le départ car ce peut être le début d’une chaîne de bonnes rencontres. »
Faciliter l’ouverture d’un second magasin en franchise
Clients : Mélanie et Frédéric, 37 et 43 ans.
Création des points de vente franchisés : 2007 et 2014.
Secteur d’activité : achat et vente de produits d’occasion aux particuliers.
Lieu d’implantation : Bayonne et Saint-Jean-de- Luz (Pyrénées-Atlantiques).
Début de la relation avec Fiducial : 2007.
Problématique : créer un second magasin.
Solution : jouer de toutes les ressources de la législation pour bénéficier de conditions de crédit et fiscales optimales.
Témoignage :
« Dans le métier de l’achat-vente de produits d’occasion, la rotation rapide du stock est primordiale pour la réussite d’une entreprise. Il faut donc pouvoir disposer de suffisamment de trésorerie pour saisir les occasions d’acheter en espèces – et non les payer à 30 ou 60 jours comme habituellement – au moment où ces produits se présentent… sans savoir quand ils se présenteront. On ne peut pas jouer, comme dans un commerce traditionnel, sur les délais entre la livraison, la vente au consommateur et le paiement au fournisseur.
Notre expert-comptable FIDUCIAL nous fait prendre conscience de la nécessité d’une gestion attentive de nos dépenses et recettes. Il lui arrive néanmoins ponctuellement de devoir nous alerter sur un risque sérieux de décalage dans la trésorerie.
Lorsque nous avons voulu ouvrir un second magasin, nous avons conservé le même expert-comptable ce qui nous a permis de gagner du temps. D’une part, parce que je n’avais pas à réexpliquer ma situation pour la constitution du business plan. D’autre part, parce que même en maîtrisant parfaitement mon métier, je suis incapable de présenter un tableau prévisionnel ou de mettre en avant les indicateurs majoritairement regardés par une banque (qui ne sont pas ceux qui nous intéressent au quotidien) ou encore de calculer notre capacité d’autofinancement.
Notre expert-comptable facilite la compréhension de notre situation réelle par le banquier. En crédibilisant notre demande, il nous a permis d’être exigeants sur les conditions du second prêt et d’obtenir pratiquement tout ce que nous souhaitions.
La création d’une deuxième entité juridique, filiale à 95 % de la première entité, nous a été préconisée afin de pouvoir bénéficier d’une déclaration fiscale commune ou séparée, en fonction des résultats de chaque année. Ce qui est, par exemple, intéressant au démarrage quand une déclaration commune aux deux sociétés permet au résultat logiquement négatif du second magasin de limiter l’imposition sur les bénéfices du premier point de vente.
Autre avantage: on ne dépasse pas le nombre de dix salariés, ce qui arrive vite sur deux unités, et impose de nouvelles obligations si l’on ne possède qu’une seule société.
Notre expert-comptable nous aide à décider de la solution la plus avantageuse pour la répartition des revenus : dividendes, récupération de compte courant… Il comprend bien nos problématiques de TPE et nous guide sur nos priorités, entre volonté d’avoir un retour sur investissement de l’énergie investie et les opportunités professionnelles ou personnelles à saisir. Ce spécialiste de la gestion de patrimoine est aujourd’hui nécessaire face à un système fiscal extrêmement compliqué dans notre pays. Ses conseils sont également utiles en termes de droit social pour faire face au code du travail le plus épais au monde, le plus lourd dans tous les sens du terme…
Même certaines initiatives de bon sens dans la relation employeur-salarié sont interdites par la loi. Et tout écart ou procédure peut coûter très cher à l’entreprise. »
Disposer d’une alternative bancaire pour sa franchise
Clients : Mickaël et Florence, 39 et 36 ans.
Création des points de vente franchisés : octobre 2012 et juin 2014.
Secteurs d’activité : vente de meubles de salon et cuisines intégrées sur mesure.
Lieu d’implantation : Malemort- sur-Corrèze, près de Brive (Corrèze).
Début de la relation avec Fiducial : 2012.
Problématique : obtenir le financement des banques pour la reprise d’un magasin sous une autre enseigne.
Solution : réunion et mise en concurrence des acteurs bancaires locaux dans les bureaux Fiducial, transformation en SAS (Société par actions simplifiées) de la SARL (Société à responsabilité limitée) initiale et création d’une seconde société dont la première est actionnaire.
Témoignage :
« Un an et demi après le lancement d’un premier point de vente en franchise, dans le secteur des cuisines intégrées sur mesure, nous avons eu l’opportunité, avec mon épouse, d’acquérir un second magasin. Ce commerce, situé dans la même zone commerciale, était spécialisé dans la vente de meubles de salon, sous une autre enseigne. Pour constituer l’emprunt nécessaire à cet achat, nous voulions nous adresser à une autre banque que celle sollicitée pour le premier projet afin notamment de faire jouer la concurrence et de disposer d’une alternative.
Notre expert-comptable Fiducial, découvert par le conseil de proches, nous a proposé de rencontrer, dans ses bureaux et dans la même journée, les responsables “marché professionnel” de quatre établissements bancaires locaux, en compagnie de notre futur nouveau franchiseur. Avec notre accord, il s’était auparavant mis en relation avec lui. Il a ainsi pu affiner – voire réajuster – les chiffres avancés dans notre business plan au regard de la situation concrète de l’entreprise achetée et de données réelles sur le même métier observées par le réseau FIDUCIAL. Les franchiseurs ont en effet parfois tendance à enjoliver les taux de marge…
Face aux banques, avec le marché tendu du canapé et une marge de négociations plus réduite que deux ans auparavant, notre business plan s’est appuyé sur notre capacité d’entrepreneurs à reproduire l’expérience réussie de notre premier point de vente en termes de structuration, de dynamisation, d’animation d’une équipe commerciale et de résultats.
Afin de ne pas devoir apporter des fonds personnels pour lancer notre seconde activité, la société créée pour notre premier magasin est devenue actionnaire de celle du nouveau point de vente. Ainsi, son excellente trésorerie nous a permis d’amortir le démarrage logiquement plus lent sur la vente de meubles de salon, tout en ne subissant pas de pression fiscale supplémentaire. Ce montage juridique, réalisé par Fiducial Sofiral, cabinet d’avocats de Fiducial, nous a permis de prendre le temps de nous adapter au marché de la vente de meubles de salon. Il fallait pouvoir traverser la période traditionnellement calme de l’été et mettre progressivement en place notre méthodologie de management sur le second point de vente.
Ce choix nous a aussi permis de répartir les pouvoirs – mon épouse et moi-même prenant chacun la direction d’une entité – tout en conservant nos rôles au sein des magasins en fonction de nos affinités: le commercial pour mon épouse, le management et la gestion pour ma part. Pour ces deux sociétés, nous avons adopté le régime de la SAS4.
En effet, pour une SARL5, la fiscalité des dividendes a évolué au 1er janvier 2013 et supporte désormais les cotisations liées au RSI (Régime social des indépendants). La forme juridique de la SAS permet pour l’instant de ne pas voir les dividendes distribués soumis à des cotisations RSI (tout en restant assujettis aux prélèvements sociaux). Elle offre aussi plus de possibilités telles que des attributions différentes pour les titres et le statut social de salarié au dirigeant. Mon épouse peut ainsi être dirigeante, cotiser au régime de la sécurité sociale et bénéficier d’une meilleure couverture sociale, par exemple en cas de nouvelle maternité.
Dans la poursuite de notre belle aventure humaine et entrepreneuriale, nous avons ressenti Fiducial comme un vrai partenaire, capable d’aller au-delà des obligations légales pour nous proposer des solutions adaptées à notre volonté de développement. »